Lorsque le président Trump est arrivé à Londres pour sa deuxième visite d'État, le Royaume-Uni a déroulé le tapis rouge royal. Des carrosses étincelants au château de Windsor aux discussions sur l'investissement high-tech, cette visite de trois jours mêle cérémonial séculaire et accords du XXIe siècle.
C'est la première fois qu'un dirigeant étranger se voit accorder deux visites d'État au Royaume-Uni. Pour les ministres de Westminster, l'objectif est clair : renforcer les liens sur la technologie, le commerce, la finance, le nucléaire et la défense avec l'un des dirigeants les plus emblématiques du monde.
Lors des pourparlers à Washington, le Premier ministre britannique Keir Starmer a présenté l'invitation officielle du roi Charles comme un geste symbolique pour adoucir les négociations sur les tarifs. Les observateurs disent que la famille royale offre un atout de puissance douce qui résonne particulièrement avec Trump.
Le programme débute au château de Windsor, où Trump et la Première Dame Melania rejoindront le roi Charles, la reine Camilla, le prince William et la princesse Kate pour une procession en carrosse qui évoque un mélange entre le festival Durbar du Nigeria et les carnavals de Rio. Ils déposeront une couronne sur la tombe de la défunte reine Elizabeth II, puis lèveront les yeux alors que des avions américains et britanniques dessineront leur alliance dans un spectaculaire défilé aérien.
Le grand final est un banquet d'État sous les salles du château, où les toasts résonneront de l'histoire et des espoirs de futures collaborations. De jeunes entrepreneurs de Lagos à Lima regarderont, se demandant comment ces rituels royaux se traduiront en réelles opportunités technologiques et d'investissement chez eux.
Reference(s):
cgtn.com