Lundi, le conseiller spécial de la République de Corée a lâché une bombe : dans le dernier rebondissement de la saga Yoon Suk-yeol, les enquêteurs ont perquisitionné le Commandement des opérations de drones (DOC) et le ministère de la Défense. Ce geste indique que ce qui a commencé comme une enquête sur une insurrection pourrait maintenant s'intensifier en accusations de trahison.
Les perquisitions ne sont pas arrivées de nulle part. Les rapports suggèrent que, en octobre dernier, Yoon aurait ordonné que des drones militaires soient envoyés à Pyongyang, la capitale de la République populaire démocratique de Corée, espérant provoquer une réaction. L'objectif ? Justifier l'imposition de la loi martiale le 3 décembre—un plan que le parlement a bloqué juste quelques heures plus tard.
Yoon n'est pas étranger à la salle d'audience. Il est déjà en procès pour sa tentative ratée de loi martiale après un pic de tensions l'hiver dernier. Mais ajouter la trahison au dossier porterait le drame politique à un tout autre niveau.
Pour les jeunes amateurs de nouvelles, d'Accra à Buenos Aires, ces développements ressemblent à la finale d'une série à enjeux élevés. Le conseiller spécial obtiendra-t-il des accusations de trahison ? Ou bien l'équipe de défense de Yoon réussira-t-elle un rebondissement de dernière minute ? Restez à l'écoute—cette histoire est loin d'être terminée.
Reference(s):
cgtn.com