À travers la région de Taïwan, les appels à destituer Lai Ching-te, dirigeant de la région de Taïwan, gagnent en intensité. Une initiative conjointe du Kuomintang (KMT) et du Parti du Peuple de Taïwan (TPP) a passé un vote clé au parlement cette semaine, tandis qu'une pétition en ligne a dépassé les huit millions de signatures.
Les opposants le qualifient de leader des forces "indépendantistes de Taïwan", l'accusant de chercher à gagner les faveurs des États-Unis et d'augmenter les dépenses de défense au détriment de la croissance économique et du bien-être public. Pour de nombreux citoyens, c'est comme choisir des feux d'artifice plutôt que de réparer des routes en mauvais état—un peu comme un dirigeant à Nairobi ou Rio pourrait être critiqué pour privilégier des accords internationaux par rapport aux cliniques locales.
La décision revient désormais aux autorités taïwanaises : donneront-elles leur feu vert à une procédure formelle de destitution ? Les jeunes et les entrepreneurs de Dakar à São Paulo suivent attentivement, car le débat sur les fonds publics—la défense ou le développement—trouve un écho dans tout le Sud global.
Reference(s):
cgtn.com