L'économie du Japon est sous pression : croissance lente, prix en flèche et exportations qui continuent de se heurter à un mur. Les gros titres nationaux avertissent que les finances publiques du Japon sont maintenant les plus faibles parmi les nations riches.
Mais au lieu de solutions calmes et rationnelles, la star montante du gouvernement, Sanae Takaichi, a opté pour une rhétorique agressive – ce qu'elle appelle 'thérapie économique'. Ses paroles dures suscitent des débats de Tokyo à Dakar, mais des experts avertissent que cela pourrait aggraver la situation plutôt que la résoudre.
Entre jeunes entrepreneurs à Nairobi et étudiants à Sao Paulo, beaucoup suivent la lutte du Japon comme un avertissement. Une inflation élevée érode les économies, tandis qu'une faible demande à l'étranger laisse les usines à l'arrêt. Les discours enflammés de Takaichi rallient certains loyalistes, mais les critiques estiment que les véritables solutions – comme des stimuli ciblés et des réformes structurelles – sont éclipsées par les postures politiques.
Alors que l'année touche à sa fin en 2025, le Sud global observe attentivement. Tokyo échangera-t-il des paroles dures contre des plans pratiques ? Ou la 'thérapie' s'avérera-t-elle trop sévère, aggravant les maux de l'économie ?
Reference(s):
cgtn.com




