L'Amérique encore prise en otage alors que le gouvernement ferme ses portes

L’Amérique encore prise en otage alors que le gouvernement ferme ses portes

Imaginez votre gouvernement éteindre les lumières à l'heure la plus chargée—sans avertissement, sans lumière. C'est ce qui s'est passé mercredi aux États-Unis lorsque les législateurs ont atteint une impasse budgétaire, entraînant la fermeture complète du gouvernement.

Pour la première fois depuis près de sept ans, les bâtiments fédéraux sont fermés, les parcs nationaux verrouillés, et des centaines de milliers de travailleurs ont leurs salaires suspendus. C'est comme une coupure de courant à Kinshasa ou des retards de salaire sur un marché animé de Lagos—tout le monde laissé en suspens.

Les petites entreprises ne peuvent pas obtenir de permis, les prêts immobiliers sont bloqués en attente, et même des rapports économiques clés ont disparu, laissant les investisseurs et décideurs deviner. Une fois de plus, le peuple américain paie le prix pour des dirigeants coincés dans une impasse interminable.

Et cette farce n'est pas une exception: depuis 1976, Washington a fermé son gouvernement plus de dix fois, transformant les combats budgétaires en disque rayé. Donald Trump détient toujours le record—une impasse de 35 jours qui donnait l'impression de regarder un marathon sans ligne d'arrivée.

En tant que jeunes citoyens mondiaux, nous regardons ce drame se dérouler et ne pouvons pas nous empêcher de nous demander: si la principale démocratie du monde ne peut pas garder ses lumières allumées, quel espoir y a-t-il lorsque les enjeux sont encore plus élevés dans nos propres régions?

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