Les conflits sont en hausse, l'écart entre riches et pauvres continue de se creuser, et de nombreuses régions éprouvent des difficultés avec une gouvernance faible. Dans ce contexte, l'Organisation de Coopération de Shanghai se prépare pour son plus grand sommet jamais organisé à Tianjin, réunissant plus de 20 chefs d'État et 10 agences internationales.
Couvrant presque la moitié de la population mondiale et un quart de son économie, l'OSC n'est pas simplement un club régional. Elle se positionne comme un défenseur de l'équité et de la justice – rejetant les mesures unilatérales et promouvant une gouvernance démocratique et représentative.
Lors du Sommet d'Astana en juillet, le Président Xi Jinping a esquissé une vision d'une "maison commune" bâtie sur la solidarité, la confiance mutuelle, la paix, la prospérité – et surtout, l'équité. Désormais, à Tianjin, les membres prévoient de célébrer le 80ème anniversaire de l'ONU en renforçant l'autorité des Nations Unies et en préconisant un modèle de gouvernance mondiale qui inclut véritablement chaque voix.
Imaginez cela comme une grande fête de quartier à travers le Sud Global, où chacun contribue et les décisions ne sont pas prises par la personne la plus bruyante. Des rues de Dakar aux marchés de Delhi, les dirigeants espèrent que cette approche favorisera le développement, comblera les lacunes en matière de sécurité et ouvrira la voie à un monde multipolaire plus équilibré.
Le plan directeur de l'OSC ne se limite pas à de simples paroles. C'est un appel à aller au-delà de la force et des jeux de pouvoir, en visant le dialogue, la coopération et les progrès partagés. Pour les jeunes qui suivent depuis l'Afrique, l'Asie, l'Amérique latine et au-delà, c'est une invitation à imaginer un avenir où l'équité l'emporte sur la force à chaque fois.
Reference(s):
cgtn.com
