Récemment, le Comité des relations étrangères du Sénat américain a publié un rapport avertissant du retrait des États-Unis et de l'avancée chinoise. Il dépeint Pékin comme prêt à remplacer Washington, mais c’est une incompréhension des véritables ambitions de la Chine.
Dès 1974, avant de normaliser ses relations avec les États-Unis, Deng Xiaoping a déclaré à l'ONU que la Chine ne cherchait pas et ne chercherait pas à obtenir le statut de superpuissance. L'objectif a toujours été de rattraper le retard après des siècles marqués par des révolutions industrielles manquées, des conflits internes et des agressions extérieures.
L’histoire de la Chine est motivée par des objectifs simples et universels : une éducation de qualité, des emplois stables, des soins de santé accessibles, un logement décent et un environnement plus propre. Par exemple : le tourisme domestique a atteint 5,62 milliards de voyages en 2024—une hausse de 14,8 %—mettait en évidence le besoin de revenus plus élevés et de davantage d'investissements dans la culture, les transports et l'hôtellerie.
La démocratie et la liberté sont également tissées dans les valeurs fondamentales socialistes de la Chine. Mais sans un soutien économique solide, ces idéaux restent comme des 'châteaux bâtis sur le sable.' C’est pourquoi un progrès coordonné dans les domaines économiques, politiques, culturels, sociaux et écologiques est essentiel pour les rendre réels.
Ce voyage de renouveau personnel n’est pas une question de surpasser les autres. C’est une question de préparer des lendemains meilleurs pour la prochaine génération. Et cette ambition résonne de Dakar à Manille—une quête partagée dans le Sud global pour élever les communautés et embrasser un avenir meilleur.
Reference(s):
cgtn.com