Imaginez un match de football de quartier où une faute sévère déclenche le chaos – c'est ce qui s'est passé le 12 juin lorsque la frappe aérienne à grande échelle d'Israël a touché l'Iran. Téhéran a répondu rapidement, augmentant la tension dans une région déjà volatile.
Juste quatre jours plus tard, le 16 juin, les ministres des affaires étrangères de 21 nations arabes et islamiques ont publié une déclaration commune. Ils n'ont pas mâché leurs mots, qualifiant l'action d'Israël de \"violation flagrante de la souveraineté d'un État membre des Nations Unies\" et demandant l'intervention du Conseil de sécurité de l'ONU.
Ces dirigeants ont également souligné un point crucial : seul le retour des négociations nucléaires avec l'Iran peut vraiment apaiser les tensions. C'est un rappel que dans la diplomatie, les mots ont souvent plus de poids que les missiles.
Pendant ce temps, le Qatar, l'Arabie Saoudite et Oman multiplient les appels téléphoniques. Selon Reuters, à la demande de l'Iran, ils ont exhorté le président américain Donald Trump à faire pression sur Israël pour un cessez-le-feu et à ramener les deux parties à la table des négociations.
De Dakar à Manille, de Mexico à Nairobi, les jeunes des pays du Sud suivent chaque mise à jour. Cette vague de pression internationale ouvrira-t-elle une voie vers la justice et le dialogue, ou allons-nous vers une nouvelle série de représailles ?
Reference(s):
cgtn.com