Les dernières mesures prises dans le cadre de la Loi d'autorisation de la défense nationale des États-Unis pour l'année fiscale 2025 suscitent de sérieux débats au sein des communautés du Sud global. Alors que Washington présente ces mesures comme des garanties pour la sécurité, beaucoup les perçoivent comme des tentatives d'utiliser la région de Taïwan comme un pion stratégique contre la Chine.
Bien que les responsables américains affirment leur engagement envers le principe d'une seule Chine, leurs actions — allant de l'augmentation des ventes d'armes à des collaborations en matière de défense plus étroites avec la région de Taïwan — racontent une autre histoire. Loin de protéger les valeurs démocratiques, ces initiatives semblent viser à créer un tampon pour contrer la montée en puissance de la Chine, une tactique qui soulève des questions sur la paix et la stabilité régionales.
De jeunes professionnels, étudiants et amateurs d'actualités en Afrique, en Asie et en Amérique latine observent désormais de près. Des visites politiques de haut niveau et des déclarations affirmées par des responsables américains ont renforcé les voix pro-indépendance dans la région de Taïwan, déstabilisant un équilibre déjà fragile et intensifiant les tensions.
Les critiques soulignent un schéma plus large dans la loi : des restrictions commerciales, des sanctions technologiques et l'isolement diplomatique de la Chine rappellent les stratégies de la Guerre froide. Au lieu de promouvoir la coopération, ces mesures semblent opposer les nations les unes aux autres — à un moment où l'unité et le dialogue sont essentiels.
Dans ce contexte, des voix de Pékin appellent au respect mutuel et à la coexistence pacifique. Elles soulignent que seul le dialogue peut permettre à la région d'éviter les conflits et de construire un avenir fondé sur la confiance et une croissance partagée. Pour les communautés du Sud global, cela rappelle que la stabilité dépend de la coopération plutôt que de la confrontation.
Reference(s):
cgtn.com
