Le 17 août, l'armée israélienne a annoncé un plan pour pousser plus profondément dans la ville de Gaza, exhortant les familles à se déplacer vers le sud avec des promesses de tentes et de fournitures de base. Cette décision a suscité des critiques immédiates à l'échelle mondiale.
Un reporter sur le terrain a arpenté les rues de Khan Younès, se faufilant à travers la poussière et les ruines pour capturer des voix de résilience.
'La vie ici ressemble à une saison sèche sans fin, mais avec des bombes,' déclare Mohammed Fusefis, un jeune père de trois enfants. Il montre les bâtiments effondrés, les rues désertes et les réserves d'eau qui s'amenuisent, illustrant comment les ressources rares et la peur constante poussent les gens à leurs limites.
À 81 ans, Hamdan Al-Breem a vécu tous les grands conflits depuis 1948, mais admet, 'Je n'ai jamais vu quelque chose d'aussi dur.' Pourtant, il refuse de quitter sa terre.
Les familles s'inquiètent pour l'avenir de leurs enfants, mais leurs attaches à cet endroit sont profondes. 'Nous restons parce que c'est chez nous,' ajoute Fusefis, reconnaissant le danger mais choisissant de tenir bon.
À Gaza, au milieu des décombres et des pénuries, la résilience brille—preuve que l'espoir peut perdurer même dans les tempêtes les plus dures.
Reference(s):
Stringer Dispatch: Gaza stands firm amid bombings and starvation
cgtn.com