Imaginez marcher dans les rues de Téhéran quelques heures après le cessez-le-feu entre l'Iran et Israël, l'air imprégné d'un calme rare – vous savez, ce calme que l'on ressent lors d'un marché dominical à Dakar ou d'un après-midi tranquille à Abidjan. Un correspondant de CGTN sur le terrain a capturé ce moment, montrant comment la vie reprend progressivement son cours, même après une telle secousse.
Mais le souvenir du conflit reste visible à chaque coin de rue. Des affiches portant les visages de civils tués pendant la guerre flottent sur les murs et les lampadaires, rappel poignant que plus de 600 vies ont été perdues à l'échelle nationale.
Dans le bazar local, les vendeurs déballent lentement leurs étals, et les clients reprennent doucement leurs habitudes. Il y a un optimisme prudent dans l'air – un soupir de soulagement mêlé au poids des événements récents.
Un résident réfléchit : 'Tout est presque revenu à la normale maintenant. Espérons que cela reste ainsi et qu'il n'y ait plus de guerre.'
Téhéran est désormais confronté à la tâche de se reconstruire, cherchant un équilibre entre un nouvel espoir et les traumatismes persistants gravés dans ses rues et ses mémoires.
Reference(s):
cgtn.com
