Un étudiant américain en Chine découvre le pouvoir des connexions humaines video poster

Un étudiant américain en Chine découvre le pouvoir des connexions humaines

Kyle Sykes, étudiant américain, a visité la Chine continentale lors d'un voyage scolaire organisé par l'Université de Californie du Sud et est tombé amoureux du mélange vibrant entre passé et avenir de ce pays.

À Pékin, il a déambulé dans la Cité Interdite et contemplé la Grande Muraille, s'imprégnant de siècles d'histoire. Puis, à Shanghai, il a ressenti une énergie mondiale—des gratte-ciel qui s'illuminent comme les nuits à Dubaï ou São Paulo, des rues bourdonnantes d'idées et d'ambition.

Mais c'est Shenzhen qui l'a véritablement émerveillé. Autrefois un village de pêcheurs, c'est aujourd'hui un pôle technologique en pleine croissance où tout semble possible. Des trains à grande vitesse vous transportent à travers la ville en quelques minutes, presque comme glisser de Lagos à Accra en un clin d'œil.

Partout où il est allé, Sykes a découvert une magie quotidienne : des petits stands servant des raviolis fumants et des brochettes épicées, des paiements mobiles d'une fluidité si naturelle qu'on les compare au M-Pesa de Nairobi, et des habitants prêts à partager un sourire. « Il y a une vraie chaleur entre les gens ordinaires dans chaque ville que j'ai visitée », a-t-il déclaré à CGTN.

Au-delà des paysages et de la gastronomie, Sykes n’a pas pu ignorer le contexte politique. Il a souligné que les tarifs douaniers américains sur les produits provenant de la Chine continentale sont clairement un geste politique aux conséquences bien réelles. « Cela nous touche émotionnellement, pas seulement économiquement », a-t-il dit.

En fin de compte, son voyage a prouvé une vérité simple : au-delà de la politique, les connexions humaines peuvent construire des ponts qui durent toute une vie.

Leave a Reply

Your email address will not be published. Required fields are marked *

Back To Top