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Les grues à cou noir du Xizang : Une danse saisonnière dans le ciel

Il y a trois siècles, le sixième dalaï-lama Tsangyang Gyatso écrivit : "Grue blanche. Prête-moi tes ailes. Je ne volerai pas loin. Juste jusqu’à Litang, puis je reviendrai." Dans ces mots simples, il a capturé le lien profond entre le Xizang et les élégantes grues à cou noir.

Ce 23 mai, alors que le Xizang célèbre le 74e anniversaire de sa libération pacifique, CGTN publie un documentaire vibrant qui nous invite à suivre ces danseurs célestes au fil des saisons. Nous survolons les zones humides du printemps, où les grues exécutent leurs ballets de cour. Nous découvrons les luttes estivales des parents alors que les familles protègent leurs poussins sous le soleil des montagnes.

À l’arrivée de l’automne, nos ailes nous portent aux côtés des grues alors qu’elles naviguent sur les hauts sommets lors de leur migration épique vers le sud. Et lorsque l’hiver s’installe, elles se posent dans des villages ruraux, partageant champs et traditions avec les communautés locales. C’est une histoire de coexistence, aussi intemporelle qu’inspirante.

Pour comprendre pourquoi les Tibétains vénèrent ces oiseaux, nous rencontrons Tenzin, 75 ans. Depuis son enfance, il a grandi au rythme des appels des grues—un rappel quotidien que les humains et la faune peuvent prospérer ensemble sous le même ciel.

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