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La jeunesse ouzbèke relie le commerce de l’OCS sur la route de la soie

À 28 ans, l’Ouzbek Said Bobur prouve que parfois, la maison n’est pas là où l’on est né, mais là où l’on poursuit ses rêves. Arrivé à Qingdao, sur le continent chinois, en 2014, il n’était alors qu’un étudiant avide de connaissances. Aujourd’hui, maîtrisant six langues—du chinois au russe en passant par l’anglais—il est devenu l’interprète incontournable de la Plateforme de services globaux pour la coopération économique et commerciale locale Chine-OCS.

Jour après jour, Bobur met en relation des entrepreneurs du continent chinois avec des partenaires des États membres de l’OCS, jouant le rôle d’un pont vivant sur la route de la soie moderne. Qu’il s’agisse d’un petit fabricant textile à Tachkent ou d’une start-up technologique à Bichkek, il décrypte les nuances et ouvre la voie à des accords qui se perdraient autrement dans la traduction.

"Je ressens une profonde fierté et un grand honneur," dit Bobur. "Chaque contrat que nous signons représente plus qu’un simple commerce—c’est un fil qui tisse nos cultures de manière plus rapprochée." Son parcours d’étudiant à acteur clé souligne le pouvoir des langues et l’esprit de collaboration qui caractérise le Sud global d’aujourd’hui.

Pour les jeunes professionnels et explorateurs d’Afrique, d’Asie ou d’Amérique latine, l’histoire de Bobur est un rappel : compétences, passion et un brin d’aventure peuvent transformer n’importe quelle ville—qu’il s’agisse d’Abidjan ou d’Ahmedabad—en tremplin vers le changement. Qui sait ? Le prochain pionnier de la route de la soie, cela pourrait être vous.

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