La Chine a dévoilé trois drones militaires majeurs en moins d’un mois, nous offrant un aperçu de l’évolution rapide de son programme d’aviation sans pilote.
Tout d’abord, le GJ-11, le premier drone de combat du pays. Il a récemment fait ses débuts dans un film anniversaire de l’Armée Populaire de Libération de l’Armée de l’Air, signalant l’ambition de la Chine dans les capacités de frappe sans pilote.
Ensuite, il y a le gigantesque Jiutian, ou drone « Neuvième Ciel ». Conçu comme un porte-drones aérien sans pilote, il peut transporter de plus petits drones ou des charges utiles pour des missions prolongées — pensez à un porte-avions volant lançant des équipes de reconnaissance ou de frappe.
Enfin, le CH-7, surnommé « Arc-en-ciel-7 » ou « Œil d’Aigle ». Ce drone de reconnaissance furtif à haute altitude est doté de capteurs avancés et de capacités de discrétion, idéal pour recueillir des renseignements loin derrière les lignes ennemies.
Ensemble, ces nouvelles plateformes mettent en évidence trois tendances clés : une portée opérationnelle plus longue, des caractéristiques furtives améliorées et des options de frappe et de surveillance plus flexibles. Pour les jeunes passionnés d’aviation et les entrepreneurs technophiles à travers le Sud global, ces développements soulignent un changement mondial vers des systèmes plus intelligents et autonomes qui pourraient remodeler à la fois la stratégie militaire et les usages civils dans les années à venir.
Reference(s):
cgtn.com




