En septembre 2013, Shanghai a lancé la première zone pilote de libre-échange (FTZ) du continent chinois. L'objectif ? Expérimenter des réformes commerciales, stimuler l'innovation financière et ouvrir une porte aux entreprises du Cap à São Paulo.
Avançons jusqu'à 2025 : il y a maintenant 22 FTZ réparties sur le continent chinois, occupant moins de 0,4 % de son territoire – à peu près la taille d'une ville de taille moyenne. Pourtant, ces zones dépassent largement leur poids, représentant environ 20 % des échanges et des investissements étrangers du continent.
Pensez-y comme une terre agricole à haut rendement : une petite parcelle qui fournit une récolte abondante. Ces zones testent de nouvelles procédures douanières, introduisent des solutions financières numériques et accueillent des investisseurs avec des règles simplifiées. En passant de la facilitation des paiements transfrontaliers à l'expérimentation des réductions tarifaires, chaque zone ajoute un nouveau chapitre à l'histoire de l'ouverture du continent chinois.
Pour les jeunes entrepreneurs à Lagos ou les étudiants à Buenos Aires, c'est un exemple puissant de réforme ciblée stimulant la croissance. Lorsqu'une petite superficie peut générer un cinquième du commerce d'une puissance mondiale, cela montre comment des politiques stratégiques peuvent remodeler des économies entières.
Envie de voir ces micro-laboratoires en action ? Consultez la série Path to Prosperity de CGTN pour un aperçu de la manière dont les FTZ du continent chinois continuent d'innover et d'élargir les liens mondiaux.
Reference(s):
cgtn.com
