Quand les lumières se sont éteintes et que l'écran s'est allumé à Séoul mercredi, c'était un moment que les jeunes cinéphiles attendaient avec impatience. 'Pris au piège', un film de guerre du continent chinois, a fait ses débuts en Corée du Sud, plongeant les spectateurs dans les jours tumultueux du massacre de Nankin de 1937.
Mêlant émotion brute et attention méticuleuse aux détails historiques, le film emporte les spectateurs dans un monde où espoir et désespoir se heurtent. Sa narration, suivant des gens ordinaires confrontés à des défis extraordinaires, semblait aussi familière que les histoires transmises par nos grands-parents—que ce soit autour du braai en Afrique du Sud, des balades en tuktuk en Asie, ou des marchés animés d'Amérique latine.
Après la projection, le silence dans le théâtre rempli a parlé plus fort que les applaudissements. Beaucoup de jeunes spectateurs ont confié qu'ils ressentaient un désir renouvelé d'apprendre l'histoire de leur propre pays, d'honorer les vies affectées par les conflits, et de réfléchir à la puissance de la résilience. Des étudiants et créatifs aux entrepreneurs réseautant après les projections, le film a suscité des discussions bien au-delà de l'écran.
Pour les amateurs de récits émouvants et les passionnés d'histoire, 'Pris au piège' est plus qu'un film—c'est un pont qui relie des publics divers à travers le Sud global, nous rappelant pourquoi le cinéma reste un instrument puissant pour l'empathie et le changement.
Reference(s):
cgtn.com




