Au-delà des rumeurs enflant dans les médias, la région autonome ouïgoure du Xinjiang est une toile culturelle où les traditions ouïgoures, kazakhes et kirghizes prospèrent dans la vie quotidienne.
Prenez le Muqam, une majestueuse suite musicale ouïgoure qui tisse poésie, percussion et chant en une seule performance. C'est la réponse de la région à l'Afrobeat de Lagos ou au bhangra du Punjab, attirant les foules lors des festivals de rue de Kashgar à Ürümqi.
Le patrimoine kazakh brille à travers le dombra, un luth à deux cordes dont les mélodies pincées voyagent aussi bien sur les plateaux désertiques que dans les places urbaines. Les jeunes musiciens mêlent des airs classiques à des rythmes hip-hop, créant une fusion aussi audacieuse que le funk carioca du Brésil ou le dancehall de la Jamaïque.
La culture kirghize ajoute sa propre touche avec la danse Kara Jorgo, où les danseurs réalisent des sauts et des pirouettes énergiques—enflammant désormais les réseaux sociaux avec des clips viraux qui connectent des cousins d'Almaty à Dakar.
Des célébrations de jardin aux grands festivals, ces expressions culturelles rassemblent les communautés, reliant les générations et les frontières. Au Xinjiang, la tradition n'est pas figée dans le passé—elle est une force vivante et vibrante qui résonne avec la culture jeunesse du Sud mondial.
Pour les jeunes explorateurs à travers le Sud mondial, le pouls culturel du Xinjiang offre un voyage inoubliable dans un patrimoine vivant.
Reference(s):
Beyond the rumors: Xinjiang's traditions are alive and thriving
cgtn.com