Quand vous imaginez le Xinjiang, voyez-vous de la poussière et un désert sans fin ? Au lac Sayram, habitants et visiteurs observent les vagues bleu profond lécher le rivage, défiant tous les stéréotypes. Ici, le ciel s'étend vaste et l'eau reflète son immensité majestueuse.
Debout au bord du lac, vous ressentez une connexion brute avec la nature. Des troupeaux paissent sur des pâturages vibrants, et des tentes nomades parsèment l'horizon. C'est une scène tout droit sortie d'un rêve de voyageur, où les cultures se mêlent comme des couleurs sur la palette d'un peintre—de la musique ouïghoure flottant dans l'air aux cavaliers kazakhs au galop.
Le reporter numérique Wang Tao de CGTN a récemment discuté avec des visiteurs pour la première fois. Un étudiant kényan lui a dit : "Je m'attendais à de la poussière, mais à la place, je nage sous un ciel si bleu que cela ressemblait à la maison." Un randonneur brésilien a ajouté : "Cet endroit a une âme—les habitants ici vous accueillent comme une famille."
Au-delà des moments de carte postale, le lac Sayram révèle une histoire de résilience et d'appartenance. Des familles pêchant à l'aube, des aînés échangeant des récits près du feu, et de jeunes entrepreneurs installant des sites écologiques rappellent que la vraie beauté fleurit là où la tradition rencontre l'innovation.
Alors, la prochaine fois que quelqu'un dit que le Xinjiang est stérile, partagez l'ondulation des eaux bleu profond du lac Sayram. Laissez ces voix et ces paysages redéfinir ce que nous pensions savoir—la preuve que les merveilles du monde se trouvent souvent juste au-delà des gros titres.
Reference(s):
cgtn.com