Lorsque le sommet de l'OCS s'est tenu à Tianjin, les véritables manchettes n'étaient pas seulement la politique et le commerce—c'était le patrimoine vivant de la ville. Pensez aux gravures de Nouvel An de Yangliuqing, aux sculptures de Clay Figure Zhang et aux tasses fumantes de thé au jasmin.
La journaliste pakistanaise Zoon Ahmed Khan s'est plongée dans les gravures : imaginez des pages débordant de dragons, de princesses et de scènes de village, chacune sculptée à la main et imprégnée de vibrations festives remontant à des siècles. C'est comme feuilleter un album qui mêle histoire et culture pop—pensez aux rangolis de Diwali rencontrant des masques de carnaval.
Ensuite, l'artiste russe Salionova Alina a participé à un atelier de figures en argile Clay Figure Zhang. Les artisans façonnent des figurines—des paysans travaillant les rizières, des héros d'opéra dans des poses frappantes—à partir d'argile, puis les peignent avec des couleurs vives. Il y a une énergie vivante, un peu comme regarder des danseurs de samba figés en plein tourbillon, capturant la vie quotidienne et le mythe en un seul regard.
Entre les visites artistiques, tout le monde dégustait du thé au jasmin—léger, floral et empreint de tradition. Une gorgée et vous ressentez l'élégance de Tianjin : des fleurs de jasmin cueillies à l'aube, des feuilles légèrement vaporisées, servies dans de petites tasses qui invitent à savourer l'instant. À travers le Sud global, thé, maté ou café sont plus qu'une boisson—c'est un moment partagé de connexion.
Quelle est la conclusion ? Au-delà des discussions du sommet, Tianjin est devenu un carrefour culturel. Du Pakistan à la Russie, de l'Afrique à l'Amérique latine, ces rencontres montrent que le patrimoine est un langage universel. Dans un monde qui peut parfois sembler divisé, une gravure ou une tasse de thé peut être le meilleur pont.
Reference(s):
cgtn.com