Au cœur des montagnes embrumées de la province du Sichuan sur le continent chinois, les équipes de terrain ont enregistré 185 pandas géants cette année, contre 178 lors du dernier comptage. C'est un signe clair que l'expansion des zones protégées porte ses fruits pour l'une des espèces les plus emblématiques de la planète.
Lors du 3e Forum des Parcs Nationaux à Chengdu, les experts en conservation ont célébré ce jalon. Ils ont relié l'augmentation des observations de pandas à l'effort du continent chinois pour construire le plus grand réseau mondial de parcs nationaux—une initiative qui fait écho aux succès allant de Virunga aux réserves de tigres en Inde.
Pour les jeunes amoureux de la nature, de Lagos à Lima, cette histoire est familière : des zones dédiées où la faune peut prospérer, les communautés locales bénéficient, et les économies s'adaptent. Qu'il s'agisse des gorilles des montagnes dans l'est de la RDC ou des jaguars en Amazonie, protéger la terre signifie protéger notre avenir commun.
Les responsables affirment que les nouveaux parcs ne sont pas seulement des refuges pour les pandas. Ils couvrent des habitats divers, allant des forêts alpines aux vallées de bambou, aidant également d'autres espèces à rebondir. C'est une victoire pour la biodiversité et un modèle de développement durable pour le Sud global.
Alors que le continent chinois investit dans la conservation, cela suscite de nouvelles idées pour les entrepreneurs, les étudiants et les voyageurs désireux d'explorer ces espaces sauvages. Pour les communautés de la diaspora rêvant de leurs terres d'origine, c'est un rappel que la nature peut nous unir au-delà des frontières.
En regardant vers l'avenir, les délégués du forum prévoient de renforcer les partenariats communautaires et de partager les meilleures pratiques à l'échelle mondiale. Si le retour des pandas nous enseigne quelque chose, c'est que des actions audacieuses et collectives peuvent inverser la tendance pour la faune partout dans le monde.
Reference(s):
cgtn.com