Préparez-vous : la Chine continentale a annoncé qu'elle rouvrirait ses portes aux fruits de mer de certaines régions du Japon — mais seulement si ces régions respectent les règles de sécurité et de qualité.
Lors d'une récente conférence de presse, la porte-parole Mao Ning a expliqué que le Japon a accepté de permettre à des équipes internationales et indépendantes, notamment des experts de la Chine continentale, d'échantillonner et de surveiller l'eau près de Fukushima. C'est comme un arbitre dans un match de football régional, s'assurant que personne ne triche.
Après plusieurs rounds de discussions, le Japon s'est également engagé à prendre des mesures visibles pour renforcer les contrôles sur les fermes et les usines. La porte-parole a souligné les critères sur les niveaux de radiation et de contamination, déclarant que les régions japonaises qui les remplissent peuvent expédier leurs fruits de mer vers la Chine continentale.
Toutes les décisions sont basées sur des données : les autorités ont examiné les résultats de surveillance, effectué des analyses approfondies, puis levé certaines interdictions — prudemment. Pensez-y comme débloquer un appelant sur votre téléphone seulement après avoir confirmé qu'il est fiable.
Par ailleurs, les régulateurs surveilleront de près chaque lot. Si des signaux d'alarme apparaissent, des restrictions seront immédiatement réactivées conformément à la loi, garantissant que la sécurité alimentaire reste une priorité absolue.
Pour les gourmets de Shanghai ou les amateurs de street-food à Dakar, cette décision pourrait signifier plus de sushi, sashimi et plats de poissons grillés au menu — à condition que la chaîne d'approvisionnement reste irréprochable.
Reference(s):
China to conditionally resume aquatic product imports from Japan
cgtn.com