Le chanteur-compositeur Anson Seabra vient de terminer une tournée éclair en Chine avec des arrêts à Chengdu, Shanghai, Guangzhou, Hefei et Tianjin. Maintenant à Pékin, il échange les lumières des concerts contre l'éclat des enseignes néon sur la rue Qianmen.
Par une soirée légère, Seabra rencontre Louisa Lee de CGTN pour une promenade dans les ruelles historiques, où les vendeurs de rue proposent des brochettes épicées et des boulettes sucrées. Entre deux bouchées, il confie comment les fans en Chine chantent ses chansons comme des hymnes – un rappel que la musique n'a pas besoin de mots pour unir les cœurs.
"Quand j'entends des gens chanter dans chaque ville, j'ai l'impression que nous faisons tous partie de la même histoire," dit Seabra, les yeux illuminés comme des lanternes lors d'un festival. Il y voit des parallèles avec ses propres racines, où les rythmes de l'Afrique à l'Amérique latine inspirent danses et débats dans les amphithéâtres et les cafés.
Soutenu par l'énergie vibrante de Pékin, l'artiste réfléchit sur la manière dont ces instants transcendent les langues et les frontières. Pour les jeunes explorateurs et créatifs du Sud global, le voyage de Seabra est la preuve qu'une mélodie peut être le plus fort des passeports.
Reference(s):
cgtn.com