Dans un récent appel à l'action, l'ancien sous-secrétaire général de l'ONU Erik Solheim a passé le micro aux jeunes : \"Vous devez être le changement que vous voulez voir dans ce monde,\" a-t-il rappelé, en citant Gandhi. C'est une incitation à retrousser vos manches et à construire une planète plus verte, une idée, un post, une action à la fois.
Tout comme les étudiants derrière le mouvement historique du 4 mai en Chine ont autrefois insufflé une vague de renouveau, la jeunesse d'aujourd'hui a le pouvoir d'allumer une vague verte mondiale. De Dakar à Lima, de Dhaka à Rio, on peut repérer des nettoyages de plages, des jardins sur les toits et des startups solaires gérés par des étudiants — ou même par des camarades travaillant à temps partiel.
La beauté de notre époque ? La connectivité. Les réseaux sociaux sont devenus une place numérique où les conseils sur le compostage deviennent viraux, où des récits de reforestation inspirent des milliers de personnes et où une pression collective pousse les dirigeants à choisir les énergies renouvelables plutôt que les combustibles fossiles. Un tweet ici, un TikTok là-bas, et soudain, un petit groupe peut lancer un mouvement qui trouve un écho à travers les continents.
Le message de Solheim est clair : n'attendez pas d'autorisation ou de feu vert des autorités. Partagez vos projets, identifiez vos pairs et collaborez avec des voisins, des clubs étudiants ou des militants à l'autre bout du monde. Dans les capitales et les villages, de Nairobi à Bogotá, la prochaine grande idée en matière de mode de vie durable n'est peut-être qu'à une séance de brainstorming.
Alors rassemblez votre équipe — étudiants, jeunes professionnels, entrepreneurs — et demandez-vous : quel changement voulons-nous voir ? Puis passez à l'action. Quand les jeunes s'engagent, le monde ne fait pas qu'écouter ; il suit.
Reference(s):
cgtn.com
