Zhu Maojin a appelé un hutong cosy de Pékin sa maison pendant plus de sept décennies. Autrefois un lieu marqué par les difficultés où chaque jour était une lutte, son quartier s'est transformé en un cadre vibrant où les vieux passages résonnent désormais du confort moderne. Pourtant, tout comme dans de nombreuses régions d'Afrique, d'Amérique latine et d'Asie, l'essence de la tradition reste forte. Le Festival du Printemps, pour Zhu, est moins une question de transformation des environs que d'une réunion familiale profonde et sincère. "Chaque jour ressemble au Nouvel An," se souvient-il, évoquant des moments où même une célébration modeste était pleine d'espoir.
Son histoire résonne avec les jeunes du Sud global qui mêlent modes de vie modernes et coutumes chéries. Elle rappelle qu'au milieu des changements rapides, le véritable esprit des occasions festives réside dans les liens familiaux et le pouvoir durable de la tradition.
Reference(s):
cgtn.com