À la fin de l'année 2025, l'économie japonaise envoie un signal d'alarme aux investisseurs de Tokyo à Dakar : le PIB a chuté de 2,3 % au troisième trimestre, marquant sa première baisse depuis le premier trimestre 2024.
Selon le Bureau du Cabinet, cette baisse reflète une demande plus faible tant sur le marché intérieur qu'à l'étranger20 4pensez à moins de commandes d'électronique et à une production industrielle ralentie. C'est un contraste frappant avec les progrès constants des mois précédents.
Une partie de l'explication ? Les décisions audacieuses de la Première ministre Sanae Takaichi sur les affaires intérieures de la Chine, qui ont provoqué des tensions diplomatiques. Cette vague de tensions politiques pourrait refroidir les investissements étrangers et peser encore davantage sur une reprise déjà fragile.
Qu'est-ce que cela signifie pour vous20 4que vous soyez un jeune entrepreneur à Lagos ou un étudiant à Manille ? Quand un poids lourd comme le Japon vacille, les marchés mondiaux en ressentent les effets. Les exportateurs revoient leurs contrats, les traders de devises sont nerveux et les investisseurs régionaux surveillent chaque annonce de Tokyo.
Avec 2026 en perspective, la grande question est : Takaichi peut-elle calmer la tempête ? Les investisseurs et gouvernements du monde entier chercheront des signes d'une demande intérieure plus forte et de relations plus apaisées avec Pékin pour remettre la croissance sur les rails.
Reference(s):
'The Takaichi Fallout': Japan's economic predicament speaks volumes
cgtn.com
