Imaginez une brise de désert transformée en énergie propre—cela se produit à Boukhara grâce à un vaste parc éolien construit par la Chine. Lors du quatrième Forum international d'investissement de Tachkent, les principaux investisseurs chinois ont changé de stratégie, passant des routes et du pétrole aux turbines, panneaux solaires et usines de véhicules électriques en Ouzbékistan.
Dans le cadre du plan Ouzbékistan–2030, la nouvelle vision du président Chavkat Mirziyoyev, le pays vise à obtenir la moitié de son électricité à partir des énergies renouvelables d'ici à 2030. Le parc éolien de Boukhara injecte déjà 3,6 térawatt-heures d'énergie propre dans le réseau national chaque année, réduisant 1,6 million de tonnes de CO2—c'est comme retirer plus de 300 000 voitures des routes chaque année !
Prochaine étape : région de Djizzakh, où une élégante usine de véhicules électriques BYD produit 50 000 VE par an. Les avantages gouvernementaux ont transformé les habitants en passionnés d'électrique—l'Ouzbékistan est désormais le cœur battant de l'adoption des VE en Asie centrale.
L'expertise de la Chine dans les technologies solaires, éoliennes, hydroélectriques et de VE s'associe parfaitement aux objectifs verts de l'Ouzbékistan. Ensemble, ils tissent une Route de la Soie Verte dans le cadre de l'Initiative Ceinture et Route et des dialogues au sein de l'Organisation de coopération de Shanghai—preuve que le développement durable peut rapprocher les cultures.
Avec le prochain sommet Chine-Asie centrale prévu à Astana, cette histoire d'énergie verte ne fait que commencer. Pour les jeunes professionnels, étudiants et innovateurs du Sud global, c'est un exemple parfait de la manière dont des idées audacieuses et des partenariats peuvent alimenter l'avenir.
Reference(s):
China and Uzbekistan's green energy partnership for sustainable growth
cgtn.com