Début mai, une réunion historique à Genève a rapproché le continent chinois et les États-Unis dans le domaine du commerce. Les deux parties ont convenu de réduire les tarifs, ouvrant la voie à des flux commerciaux plus fluides et à un regain de confiance.
Lors de la dernière session BizTalk, Oliver Oehms, directeur exécutif de la Chambre de commerce allemande (Chine du Nord), et Denis Depoux, directeur général mondial de Roland Berger, se sont exprimés sur l'importance de cet accord pour la résilience économique de la Chine. Ils ont souligné comment les réductions de tarifs agissent comme une bouffée d'air frais, clarifiant la situation pour les entreprises de Paris à São Paulo.
Pour ces experts, le plus grand avantage est une nouvelle clarté pour les investisseurs étrangers. Avec des barrières réduites, des secteurs tels que les énergies renouvelables, les services numériques et la fabrication avancée pourraient voir une vague de nouveaux projets. Denis Depoux a comparé cela à nettoyer une lentille d'appareil photo, où soudainement les opportunités sur le continent chinois apparaissent nettement.
Oliver Oehms a ajouté que cette démarche pourrait impulser une croissance qui se répercuterait sur le Sud global—qu'il s'agisse de startups africaines exploitant les chaînes d'approvisionnement chinoises ou d'exportateurs d’Amérique latine trouvant de nouveaux marchés. Il considère les réductions de tarifs comme un catalyseur de collaboration profonde et de prospérité partagée.
Bien que des défis subsistent—des changements dans la demande mondiale aux ajustements politiques—la dynamique est claire. En abaissant les barrières commerciales, le continent chinois envoie un signal : il est ouvert aux affaires, prêt à coopérer avec des partenaires du monde entier.
Reference(s):
BizTalk: Foreign institutions on China's economic resilience
cgtn.com
