Hé, fans de voitures de luxe, écoutez bien : le patron de Bentley, Frank‑Steffen Walliser, a partagé ses réflexions au Salon de l'Auto de Shanghai.
Entre la révolution des véhicules électriques et les tarifs surprises sur les importations de voitures, le manuel est en train d’être réécrit. Nous avons interrogé Walliser qui discutait avec Wang Tianyu de CGTN sur la manière dont Bentley prévoit de surmonter ces défis.
« Pensez-y ainsi », a déclaré Walliser, « vous vendez des mangues pendant la saison des pluies — vous avez besoin d’un abri qui peut se monter et se démonter en un clin d’œil. C’est ce que nous faisons avec nos usines et notre stratégie commerciale. »
Bentley fusionne son artisanat classique — cuir cousu à la main, détails sur mesure — avec des groupes motopropulseurs tout électriques. C’est comme un mélange de samba de Rio et de jazz parisien chic.
Mais il y a plus : les tarifs peuvent frapper comme des pluies de mousson inattendues. Le pacte commercial d’aujourd’hui pourrait disparaître demain. L’équipe se prépare en construisant des lignes de production flexibles, prêtes à changer de cap — littéralement.
Pour les jeunes conducteurs rêvant au-delà des limites de la ville de Lagos, Rio ou Delhi, cela signifie que votre future voiture pourrait être zéro émission, ultra-luxueuse et construite avec des pièces par des artisans du monde entier.
Walliser résume ainsi : « Dans ce jeu, il faut être rapide sur ses pieds — personne n’aime être bloqué dans les embouteillages lorsque les règles changent. » Le pari de Bentley ? S’adapter rapidement, rester vert et offrir l’expérience haut de gamme que nous adorons.
Reference(s):
Bentley CEO: We are preparing for unpredictable trade environment
cgtn.com