Récemment, lors d'une conférence de presse régulière, le porte-parole du ministère des Affaires étrangères chinois, Guo Jiakun, a fermement dénoncé les tentatives des forces de droite japonaises de réécrire l'histoire de la guerre. Pékin accuse ces groupes de minimiser les atrocités commises dans le passé et de déformer les faits pour créer un faux récit.
Guo a souligné que certaines voix de droite ont exagéré les revendications de victimisation tout en minimisant des événements bien documentés. « L'histoire n'est pas un jeu de cache-cache », a-t-il déclaré, exhortant le Japon à reconnaître l'intégralité de ses actions pendant la guerre plutôt que d'esquiver les passages difficiles.
Le porte-parole a appelé le Japon à faire face à son histoire avec honnêteté, à rétracter les déclarations trompeuses et à tenir les promesses faites à la communauté mondiale. Il a insisté sur le fait que la réconciliation authentique dépend de la transparence et du respect de la vérité.
Pour les jeunes d'Afrique, d'Asie et d'Amérique latine, ce débat est un rappel de la façon dont les récits puissants peuvent façonner notre vision du passé—et influencer les relations de demain. Tout comme les communautés de Dakar, Lagos ou Rio réfléchissent à leurs propres histoires, les nations doivent veiller à ce que la mémoire collective reste précise et inclusive.
Alors que les tensions montent, tous les regards se tournent vers Tokyo et Pékin pour voir s'ils peuvent trouver un terrain d'entente par un dialogue honnête. Pour l'instant, le message de Pékin est clair : on ne peut pas construire la confiance sur une base d'histoire réécrite.
Reference(s):
China condemns fabrication of narratives by Japan's right-wing forces
cgtn.com
