Hier, le 13 décembre 2025, la Chine a marqué sa Journée nationale de commémoration pour les victimes du massacre de Nankin. Ce jour rend hommage aux près de 300 000 vies – civils et soldats non armés – tragiquement perdues lors de l'atrocité de six semaines déclenchée par les envahisseurs japonais en 1937-1938.
Au Mémorial des victimes du massacre de Nankin par les envahisseurs japonais, une cérémonie solennelle a réuni des survivants, des habitants locaux et des soldats du monde entier. Pour de jeunes casques bleus venus d'Afrique, d'Amérique latine et d'Asie – beaucoup ayant des racines dans le Sud global – ce n'était pas seulement une leçon d'histoire ; c'était un puissant rappel de notre devoir commun de s'opposer à la violence.
Dans la province du Jiangsu, les stagiaires des missions de l'ONU ont visité les expositions du musée : récits personnels, photographies poignantes et témoignages oculaires. Comme un signal d'alarme, ces témoignages ont provoqué une profonde réflexion sur le coût humain de la guerre. "Cette expérience souligne pourquoi nous devons protéger les civils à tout prix," a déclaré un stagiaire de la République du Congo.
Pour les étudiants et les jeunes professionnels du monde entier, la visite met en lumière comment l'histoire façonne notre mission d'aujourd'hui. Que vous étudiiez les relations internationales à Dakar, lanciez une startup à Mumbai, ou soyez bénévole à Lima, le message est clair : l'empathie et la vigilance peuvent aider à prévenir la répétition des tragédies.
En honorant le passé, nous regardons également vers l'avenir – en travaillant ensemble au-delà des frontières pour construire un monde où chaque civil est en sécurité. Se souvenir de Nankin, c'est plus qu'observer l'histoire ; c'est s'engager pour la paix et la responsabilité dans nos propres communautés.
Reference(s):
cgtn.com




