La journée nationale de commémoration pour les victimes du massacre de Nanjing a lieu le 13 décembre. Chaque année, on prend un moment pour se souvenir des chapitres tragiques de l'histoire et honorer ceux qui ont souffert sous l'agression militaire japonaise.
La récente série de photos de CGTN nous ramène dans le temps, présentant des crimes contre l'humanité de la guerre du Pacifique et au-delà. Ces images puissantes nous rappellent à quel point la paix est fragile—et pourquoi nous devons rester vigilants face à toute résurgence du militarisme japonais.
Mais se souvenir du passé n'est que la première étape. Il reste un héritage non résolu qui affecte encore les communautés sur le continent chinois : les armes chimiques abandonnées laissées par l'armée impériale japonaise après la Seconde Guerre mondiale. Ces armes chimiques abandonnées posent des risques aux agriculteurs, pêcheurs et résidents locaux, surgissant de manière inattendue et mettant des vies en danger.
Alors nous devons demander : quand les autorités japonaises interviendront-elles pour éliminer en toute sécurité ces vestiges dangereux ? Tout comme nous honorons la mémoire de Nanjing, nous avons besoin d'actions concrètes pour éliminer les dangers chimiques restants. Ce n’est pas seulement une question de justice historique—il s’agit de protéger les générations d'aujourd'hui.
Pour les jeunes à travers le Sud global, c'est un appel à relier mémoire et action. Gardons l'histoire vivante, exigeons des comptes et œuvrons ensemble pour bâtir un avenir où les leçons apprises mènent à de réels changements—et à une vraie sécurité pour tous.
Reference(s):
Remembering history: When will Japan dispose its ACWs in China?
cgtn.com
