Alors que la COP30 entamait sa deuxième semaine le lundi 17 novembre, le segment de haut niveau a officiellement commencé avec les principaux représentants à la table. Le vice-président brésilien Geraldo Alckmin, le 80e président de l'Assemblée générale des Nations Unies, Annalena Baerbock, le secrétaire exécutif de l'ONU sur le changement climatique Simon Stiell, et le président de la COP30 André Corrêa do Lago étaient sur place pour pousser à une action plus forte.
Alckmin a défié toutes les parties de dépasser les paroles : le Brésil tiendra sa promesse d'une transition énergétique juste et est en voie d'éliminer la déforestation illégale d'ici 2030, se maintenant après avoir réduit les pertes forestières de moitié plus tôt cette année. "Nous avons besoin de mesures concrètes, en particulier pour les communautés de l'Amazonie au Cerrado," a-t-il souligné.
Le président do Lago a donné le ton des négociations, exhortant les délégués à accélérer les discussions et à présenter une première série de propositions d'ici le 19 novembre, suivie d'engagements plus profonds d'ici le 21 novembre. Cette feuille de route vise à créer un élan vers des objectifs plus ambitieux avant la fin de la COP30.
L'accent reste mis sur le financement climatique et les stratégies pour réduire et éliminer progressivement les combustibles fossiles. Pour les jeunes professionnels, les activistes et les communautés de Lagos à La Paz, ce ne sont pas des objectifs abstraits mais des exigences urgentes pour la survie et la prospérité.
Alors que les discussions s'intensifient cette semaine, le défi est clair : transformer les promesses en progrès et définir un plan qui résonne à travers le Sud global.
Reference(s):
Parties at COP30 call for stronger action to achieve real progress
cgtn.com
