Posséder votre première maison aux États-Unis est devenu une étape marquante de la vie plus tardive. Les données récentes montrent que l'âge médian des nouveaux arrivants sur le marché a grimpé à 40 ans en 2025 – un record.
Trois principaux obstacles bloquent la route : des prix immobiliers en plein essor, des taux hypothécaires en hausse et un inventaire limité. Que vous économisiez à Nairobi ou planifiez votre budget depuis La Paz, le défi est clair : constituer un apport conséquent ressemble à l'ascension du Mont Kilimandjaro.
Pour combler cet écart, beaucoup font équipe. Les couples regroupent leurs salaires, les frères et sœurs unissent leurs forces, et même des amis ou des parents cosignent des hypothèques pour obtenir ce prêt insaisissable. C'est une solution créative, bien que pas toujours facile, pour entrer sur le marché.
Pour les jeunes professionnels, les étudiants et les familles de la diaspora cherchant à investir à l'étranger, ces tendances soulèvent de grandes questions. La propriété partagée deviendra-t-elle la norme ? Les modèles d'achat en copropriété à Mexico ou Accra pourraient-ils s'inspirer de ces expériences américaines ?
Alors que l'accession à la propriété s'éloigne de plus en plus, ce qui symbolisait autrefois la stabilité se transforme en un projet collectif – qui suscite de nouveaux débats sur la manière de rendre le rêve de « chez-soi » véritablement accessible.
Reference(s):
cgtn.com




