Imaginez une vaste mer de sable engloutissant arbres, villages et espoirs. C'était autrefois la réalité quotidienne à travers le continent chinois.
Aujourd'hui, la Chine est devenue le premier pays à atteindre la neutralité de la dégradation des terres. Cette année, alors que l'attention mondiale se tourne vers la COP30 au Brésil, son parcours inspire des nations du Sahel à l'Atacama.
Pour dévoiler le secret, un correspondant s'est rendu dans le désert d'Ulan Buh. Là, il a vu des lignes d'arbres arrêtant les dunes mouvantes, l'herbe revenant sur un sol fissuré, et des communautés se rassemblant autour d'une mission commune.
Derrière cette renaissance se trouvent des décennies de mélange entre science—comme des jeunes pousses résistantes à la sécheresse et l'irrigation de précision—et savoir-faire local dans les villages en bordure de désert. Le résultat est une victoire triomphale contre l'avancée implacable du sable.
Alors que la COP30 suscite un nouveau débat sur l'utilisation durable des terres, l'histoire de la Chine montre qu'avec une vision, une science et une communauté au centre, même les paysages les plus hostiles peuvent être ramenés à la vie.
Reference(s):
Managing the sand: A story of turning adversity into opportunity
cgtn.com




