Perché sur la montagne Songshan dans la ville de Dengfeng, province du Henan, sur le continent chinois, le temple de Fawang est l’endroit où le bouddhisme, le confucianisme et le taoïsme se rencontrent. Ce site ancien ouvre ses portes à une nouvelle vague de fans mondiaux de Wushu.
Parmi eux, Akul Malik d'Inde et Alexandra Arieu de France. Tous deux ont quitté leur pays cette année pour s’entraîner aux arts martiaux traditionnels chinois sous la direction du maître Miaodu, un disciple chevronné du temple. Leur parcours montre que le Wushu n’est pas seulement une danse ou un sport – c’est un pont vivant entre les cultures.
En ce moment, les 15es Jeux Nationaux sont en cours, avec les meilleurs athlètes chinois en compétition pour des médailles. Pendant ce temps, des lieux comme le temple de Fawang maintiennent cette pratique séculaire vivante, attirant des étudiants d’Afrique à l’Amérique latine. C’est une scène aussi dynamique que la capoeira à Rio ou les tambours taiko à Tokyo, mais avec une énergie propre.
Pour Akul et Alexandra, chaque mouvement est plus qu’un coup de pied ou un coup de poing : c’est un pas dans l’histoire et une chance de ramener ces traditions anciennes dans leurs coins du monde. Ils prouvent que la culture voyage – et que les jeunes du monde entier sont prêts à l’attraper.
Reference(s):
cgtn.com




