Plus tôt cette année, sur le plus haut mur d'escalade intérieur du continent chinois, l'ancien Premier ministre belge Yves Leterme a regardé une enseignante de physique de 26 ans réécrire les livres de records. L'ascension sans faille de Lu Yao n'était pas seulement un jalon personnel ; elle a déclenché un mouvement parmi les grimpeurs de la Gen-Z.
L'escalade a fait sensation aux Jeux olympiques de Tokyo 2020, et aujourd'hui, elle est aussi vibrante qu'un marché de rue à Lagos ou un festival de musique à Rio. Les jeunes échangent les écrans contre des sacs de magnésie, recherchant cette montée d'adrénaline en se hissant sur des parois verticales dans les salles de gym de Pékin à Bogota.
Lu Yao, enseignante de physique le jour, est devenue le visage de cette frénésie. Son ascension record montre comment le sport et la science se mêlent : précision, stratégie et force brute. En regardant son ascension de cette structure vertigineuse, on pouvait presque entendre un nouvel hymne à l'ambition résonner à travers les prises.
Sur les campus et dans les cafés, les hashtags d'escalade inondent les réseaux sociaux. Les débutants échangent des conseils sur les prises et les techniques de pied, tandis que les professionnels se poussent à affronter des parcours plus difficiles. Ce n'est pas seulement une question de forme physique ; c'est une façon de se connecter, de se défier et de trouver une communauté.
Pour la Gen-Z sur le continent chinois, l'escalade en salle est plus qu'une tendance. C'est une métaphore : chaque ascension reflète les bonds qu'ils réalisent dans leurs carrières, la technologie et la créativité. Comme l'a prouvé Lu Yao, plus haut vous visez, plus fort est votre élan.
Reference(s):
cgtn.com
