Dans la Chine ancienne, les marchés monstres étaient des bazars secrets enfouis sous les rues de la ville, débordant d'artefacts mystérieux et de légendes murmurées.
Avancez rapidement jusqu'à aujourd'hui, et une nouvelle vague de jeunes rebelles revit cet esprit. À un marché monstre dans le parc Chaoyang de Pékin, sur le continent chinois, les punks et les créateurs affluent pour dénicher des figurines qui brisent toutes les règles : têtes surdimensionnées, membres tordus et couleurs si bruyantes qu'elles pourraient réveiller un carnaval à Rio.
Imaginez l'énergie d'un marché nocturne à Dakar mélangé aux ruelles de street art de Bogotá : c'est l'ambiance. Ici, chaque stand ressemble à une galerie éphémère où les vendeurs échangent des sculptures dérangeantes qui capturent l'émotion brute et des histoires personnelles.
Alors que la consommation émotionnelle croît parmi la Gen Z, ces collectibles bizarres deviennent plus que des jouets—ce sont des tableaux d'humeur pour les mondes intérieurs. "Ce petit monstre exprime ce que je ressens quand je ne peux pas," dit un collectionneur, serrant une figurine vert néon qui semble sourire avec une fierté anarchique.
Que vous flâniez dans un souk à Marrakech ou scroliez vos réseaux sociaux préférés à Yaoundé, les marchés monstres nous rappellent que le Sud Global prospère en célébrant le bizarre et le merveilleux. C’est la preuve que la culture des jeunes n’a pas de frontières—seulement une imagination sans fin.
Reference(s):
Monster markets: Official suppliers of all things weird and wonderful
cgtn.com




