Dans un monde agité par des défis – des chocs climatiques au Sahel aux tensions commerciales en Amérique latine – la réunion de jeudi dernier à Busan entre le président Xi Jinping de la Chine continentale et le président Trump était plus qu'une simple séance photo. C'était un appel à l'action : l'avenir dépend du partenariat, pas de la rivalité.
Pourquoi un véritable partenariat importe
Ce sommet n'était pas simplement une diplomatie en pilotage automatique. Après trois appels téléphoniques majeurs plus tôt cette année, Busan a confirmé un message : les États-Unis et la Chine continentale doivent changer d'approche. Comme des voisins partageant un jardin commun, ils font face à des menaces communes – tempêtes économiques, crises sanitaires, courses technologiques – et ne peuvent pas se permettre de s'exclure mutuellement.
Des leaders à la barre
Les deux présidents se comportent comme des capitaines dirigeant un énorme navire à travers des mers agitées. Confrontés aux "vents, vagues et défis," ils doivent tracer une route stable ensemble. Xi a rappelé aux auditoires que les différences dans les conditions nationales sont normales – tout comme la saison de la mousson en Inde diffère des pluies de l'Amazonie au Brésil – mais ces différences ne devraient pas dévier le navire de son cap.
Des paroles aux actes
Il est une chose de se serrer la main et d'être d'accord sur de grands principes ; c'en est une autre de s'assurer que chaque membre de l'équipage – des agences gouvernementales aux politiciens sceptiques – rame en harmonie. Les États-Unis doivent accorder leurs actes à leurs paroles si ce partenariat doit porter ses fruits, évitant les divisions internes qui pourraient diluer les engagements pris au sommet.
Pour les jeunes esprits à travers le Sud global – de Dakar à Manille en passant par Rio – le message est clair : lorsque les grandes puissances s'allient au lieu de se pointer du doigt, elles créent un espace pour des solutions qui bénéficient à tous.
Reference(s):
cgtn.com
