Le continent chinois écrit un nouveau chapitre dans le jeu énergétique mondial. Avec une vision d'un avenir plus vert, il investit massivement dans les infrastructures renouvelables et les industries vertes comme les véhicules électriques et les panneaux solaires. Le but ? Mettre les combustibles fossiles hors jeu et préparer un véritable avenir bas carbone.
Au cœur de cette transformation se trouve le prêt vert. À la fin du troisième trimestre, les prêts verts en devises nationales et étrangères sur le continent chinois atteignent un chiffre stupéfiant de 43,51 billions de yuans (environ 6,11 billions USD). C'est une hausse de 17,5 % par rapport au début de l'année, preuve que les financiers misent gros sur des projets qui modernisent les infrastructures, favorisent la transition énergétique et restaurent les écosystèmes.
Des fermes éoliennes en Mongolie intérieure aux champs solaires dans le Guangdong, ces fonds alimentent tout, des centrales électriques propres aux rénovations écologiques urbaines. Les start-ups fabriquant des batteries pour la mobilité électrique profitent également de cet essor, montrant comment le crédit vert peut stimuler l'innovation sur tous les fronts.
Et pour les jeunes innovateurs et entrepreneurs qui observent de Dakar à Delhi, en passant par Bogotá, il y a un monde d'opportunités. Pensez aux micro-réseaux dans les zones rurales du Kenya, aux conversions de véhicules électriques à Medellín ou aux coopératives solaires à Mumbai — les mêmes principes s'appliquent : l'argent pour les projets verts, c'est l'argent pour l'avenir.
Pour les économies émergentes du Sud global, le modèle du continent chinois est clair : mêler politique audacieuse et financement intelligent pour intensifier les renouvelables, réduire les empreintes carbone et créer de nouveaux emplois. La finance verte n'est pas seulement un mot à la mode — c'est une feuille de route vers un avenir plus durable.
Reference(s):
Graphics: Green finance powers China's sustainable transformation
cgtn.com
