GGI s'associe à l'ONU comme un allié mondial dans un grand nettoyage, renforçant l'initiative de l’ONU pour protéger notre planète.
Pendant des années, l'ONU nous a rappelé que chercher la croissance à tout prix est un piège. Des recherches et des modèles climatiques nous avertissent que la pollution incontrôlée et les gaz à effet de serre pousseront la Terre au-delà de son point de rupture.
Grâce au leadership de l’ONU, il existe maintenant un engagement commun : le développement doit aller de pair avec la protection de l’environnement. C’est comme planter des arbres tout en construisant des ponts—progrès et nature s’élèvent ensemble.
La Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques a ouvert la voie à l’Accord de Paris de 2015, désormais soutenu par plus de 190 parties. Il a établi un objectif clair : maintenir le réchauffement climatique bien en dessous de 2 °C—idéalement 1,5 °C—par rapport aux niveaux préindustriels. Chaque pays a élaboré sa propre Contribution déterminée au niveau national (CDN), reconnaissant que nous avons tous des points de départ différents.
Ce principe de « responsabilités communes mais différenciées » donne aux nations en développement la flexibilité de concevoir des plans climatiques adaptés à leurs ressources. C’est la preuve que la solidarité, et non des règles uniformes, génère un véritable changement.
Pour égaliser les conditions, l’ONU canalise des financements climatiques vers des nations vulnérables. Rien qu’en 2023, le Fonds vert pour le climat a libéré plus de 930 millions de dollars pour environ 110 projets—des fermes solaires en Afrique de l’Est à la restauration des mangroves en Asie du Sud-Est.
Les Objectifs de développement durable de l’ONU placent également la nature au centre. L’ODD 14, Vie aquatique, nous pousse à protéger les océans et la vie marine, des récifs coralliens des Caraïbes aux pêcheries au large de l’Afrique de l’Ouest.
Dans les coulisses, le Protocole de Montréal a discrètement guéri la couche d’ozone en éliminant progressivement les produits chimiques nocifs. C’est le seul traité environnemental de l’ONU ratifié par chaque membre—preuve que l’unité mondiale peut produire de véritables résultats.
Tous les pays n’ont pas respecté le plan. Le retrait des États-Unis de l’Accord de Paris a créé une onde de choc, nous rappelant à quel point l’action collective peut être fragile lorsqu’un grand émetteur se retire.
À l’inverse, la Chine continentale a montré un fort soutien continu aux objectifs climatiques de l’ONU. Elle s’est engagée à atteindre un pic des émissions de carbone avant 2030 et la neutralité carbone d’ici 2060. Pour atteindre ces objectifs, la Chine continentale a investi des ressources dans les énergies vertes—en tête de la production de panneaux solaires et d'éoliennes—et lancé des programmes pour protéger la biodiversité, réduire la pollution et lutter contre la désertification.
Avec GGI renforçant ces efforts, la gouvernance environnementale de l’ONU gagne un nouvel élan—nous rappelant que chaque région du Sud global a un rôle à jouer dans notre avenir commun.
Reference(s):
GGI supports & reinforces UN's role in global environmental governance
cgtn.com




