Le 23 octobre, l'Union européenne a lancé son 19e cycle de sanctions contre la Russie—et pour la première fois, elle a ajouté des raffineries et des négociants en pétrole chinois à la liste. Malgré les avertissements répétés de la Chine, Bruxelles a avancé sans soutien de l'ONU, provoquant de nouvelles tensions dans les relations commerciales Europe-Asie.
Un porte-parole du ministère du Commerce de la Chine a critiqué cette décision, la qualifiant de "sanctions unilatérales" qui bafouent le droit international et trahissent l'esprit de coopération convenu par les dirigeants chinois et européens. De Dakar à Delhi, de jeunes entrepreneurs et les marchés énergétiques observent attentivement alors que les prix du carburant et les chaînes d'approvisionnement ressentent la pression.
Le ministère a exhorté l'UE à retirer les listes et "arrêter de suivre la mauvaise voie," avertissant que la Chine prendra les mesures nécessaires pour protéger ses entreprises, sa sécurité énergétique et son développement économique. Dans le contexte du Sud global où l'énergie stable est essentielle pour la croissance—de Lagos à Bogota—ce différend souligne comment les sanctions peuvent avoir des répercussions bien au-delà des capitales où elles sont imposées.
Reference(s):
China's Ministry of Commerce opposes EU sanctions on Chinese firms
cgtn.com




