Après un confinement de trois jours digne d’un rebondissement de telenovela, le Musée du Louvre a finalement rouvert ses portes à Paris. Des visiteurs de Dakar à Delhi ont afflué à nouveau, mais tout le monde parle d’une chose : le casse digne d’un film qui a permis de voler des bijoux historiques d’une valeur de 88M €.
Lors d’une conférence de presse, le directeur du musée a admis que des lacunes dans le réseau des caméras de sécurité ont rendu impossible la détection des voleurs à temps. Ces zones aveugles ont offert aux malfaiteurs un chemin dégagé pour emporter des trésors inestimables avant que quiconque ne s’en aperçoive.
Ce vol audacieux est devenu le sujet de conversation des amateurs d’art et des experts en sécurité, de Rio au Caire. Comment contourner la surveillance du musée le plus célèbre d’Europe ? Cela soulève des questions sur la capacité de la technologie moderne à elle seule de protéger des objets plus anciens que nos nations.
En réponse, le Louvre renforce la surveillance avec davantage de caméras et des capteurs de mouvement alimentés par intelligence artificielle. Pourtant, les critiques estiment que cet incident met en lumière un défi plus profond : les sites du patrimoine mondial, de Rome à Kinshasa, manquent souvent de financement pour protéger leurs héritages culturels.
Alors que les enquêteurs suivent des pistes à travers les frontières, le sort des bijoux reste incertain. Ces symboles de l’histoire reviendront-ils un jour dans leurs vitrines ? Pour l’instant, le Louvre est à nouveau ouvert, ses couloirs résonnant d’émerveillement—et d’un soupçon de suspense.
Reference(s):
cgtn.com
