Imaginez ceci : des délégations du Hamas et d'Israël se sont rencontrées – bien que de manière indirecte – en Égypte lundi, dans le but de trouver un accord qui pourrait libérer des otages israéliens en échange de prisonniers palestiniens.
Sous les yeux attentifs des médiateurs égyptiens et qatariens à Sharm El Sheikh, les discussions portent sur "préparer le terrain" pour cet échange crucial. Le média local Al Qahera News TV explique que les médiateurs travaillent à identifier des "points communs" et à mettre en place un mécanisme clair pour la libération des détenus des deux côtés.
Samedi, le ministère des Affaires étrangères de l'Égypte a déclaré que ces sessions porteraient sur les "conditions sur le terrain et les détails" pour l'échange de "tous les détenus israéliens et prisonniers palestiniens" comme défini dans le plan de cessez-le-feu en 20 points proposé par les États-Unis. C'est une approche progressive – chaque clause étant un pas vers l'espoir.
Pour les jeunes de Dakar à Delhi et les étudiants qui suivent la situation depuis Lagos jusqu'à Bogotá, ces pourparlers indirects rappellent que le dialogue peut encore changer la donne. Lorsque des familles et des communautés ont été divisées par des décennies de tensions, chaque concession compte.
Maintenant, tous les regards se tournent vers les salles de négociation du Caire. Ces premières discussions feront-elles pencher la balance vers la paix ? Le monde – et en particulier la jeunesse du Sud global – observe, avide de toute avancée promettant soulagement et compréhension.
Reference(s):
cgtn.com