Le 2 octobre 2025, les radars vénézuéliens se sont illuminés lorsque des avions de combat américains ont été repérés à seulement 75 kilomètres de sa côte—un geste que Caracas a dénoncé comme un survol illégal.
Le ministre des Affaires étrangères Yvan Gil s'est exprimé sur les réseaux sociaux pour qualifier la manœuvre de 'provocation directe menaçant la souveraineté nationale'. Il a souligné que les avions avaient violé le droit international et la Convention relative à l'aviation civile internationale, mettant en danger la sécurité de chaque avion traversant la mer des Caraïbes.
Le ministre de la Défense Vladimir Padrino Lopez a rapidement répliqué, condamnant 'le harcèlement militaire' contre les Vénézuéliens qui veulent seulement la paix, le travail et le bonheur. Son avertissement à Washington était clair : 'Ne faites pas cette erreur.'
À travers le Sud global—des côtes de Dakar aux archipels d'Indonésie—cet incident résonne comme un immense autobus déboulant sans prévenir dans votre rue. Le Venezuela reste ferme : ses cieux ne sont pas une zone libre d'accès, et son espace aérien est interdit.
Reference(s):
Venezuela denounces illegal U.S. military flight near its coast
cgtn.com