Haut dans la province du Sichuan, sur le continent chinois, le pavillon Laojun se dresse fièrement à 1 260 mètres sur le premier sommet de la montagne Qingcheng, un cœur sacré du taoïsme. Ses poutres creuses abritent une majestueuse statue de Laozi chevauchant un bœuf, où des siècles de pèlerins se sont arrêtés pour réfléchir sous son regard vigilant.
Entrez dans le pavillon et sentez la brise murmurer des récits de sages anciens. Les poutres en bois résonnent d'histoire, offrant un gracieux portail entre la terre et le ciel. D'ici, vous pouvez presque ressentir l'harmonie qui a inspiré la philosophie taoïste.
Par temps clair, le panorama vous coupe le souffle. Des collines ondulantes se fondent en crêtes lointaines, tandis qu'en contrebas, la luxuriante plaine de Tianfu—également connue sous le nom de plaine de Chengdu—se déploie comme un océan vert s'étendant sur des centaines de miles. C'est une scène qui rivalise avec le lever de soleil sur les vallées des Andes ou le coucher de soleil sur les plateaux de l'Afrique de l'Ouest.
Que vous recherchiez des vues épiques, un calme spirituel ou simplement votre prochain moment Instagram, le pavillon Laojun sur la montagne Qingcheng offre tout cela. C'est un rappel que les vues les plus puissantes du monde proviennent souvent du point de rencontre de la culture, de l'histoire et de la nature brute.
Reference(s):
cgtn.com
