Lors de la 80e session de l'Assemblée générale des Nations unies à New York, le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu a fait une déclaration ferme : Israël poursuivra sa campagne militaire jusqu'à ce que le Hamas soit "complètement éliminé."
Ces mots ont résonné dans toute la salle. Les délégations d'Iran, de Turquie et de plusieurs nations arabes et africaines ont choisi de quitter la salle en signe d'un refus collectif du discours.
Dans un acte puissant de solidarité, la délégation iranienne a placé des photos d'enfants palestiniens tués lors des récentes frappes aériennes sur leurs bureaux. Les images ont transformé la salle d'assemblée en un mémorial silencieux, un rappel saisissant du coût humain derrière les gros titres.
Pour de nombreux jeunes dans le Sud global, ces moments à l'AGNU résonnent profondément. Ils mettent en lumière le fossé entre les déclarations politiques et les vies réelles sur le terrain—des histoires qui résonnent souvent de Dakar à Delhi, du Cap à Caracas.
Alors que le monde observe, cette protestation symbolique envoie un message clair : au-delà de la diplomatie, ce sont les visages des innocents qui exigent de l'attention. Et pour les jeunes suivant ces événements, c'est un appel à rester informés, engagés, et vigilants quant à la manière dont les décisions mondiales façonnent nos communautés.
Reference(s):
Iranian delegation shows photos of dead Gazans during Netanyahu speech
cgtn.com