L'engagement de la Chine à l'OMC à l'AGNU suscite l'espoir d'un commerce équitable

L’engagement de la Chine à l’OMC à l’AGNU suscite l’espoir d’un commerce équitable

Imaginez ceci : lors de la 80e session de l'Assemblée générale de l'ONU à New York, le Premier ministre chinois Li Qiang a fait une révélation surprenante—la Chine, en tant que grande nation en développement, ne demandera aucun nouveau traitement spécial et différencié dans les discussions actuelles ou futures de l'OMC.

Pourquoi est-ce important ? En ce moment, de nombreuses personnes en Afrique, en Amérique latine ou en Asie du Sud-Est appellent à un système commercial plus juste et équilibré. L'annonce de Li donne un véritable élan à la réforme de l'Organisation mondiale du commerce, suscitant l'espoir que les grands acteurs soient prêts à rétablir l'équilibre.

À Pékin, cet engagement fait écho à l'orientation fixée par la troisième session plénière du 20e Comité central du Parti communiste chinois, appelant à une ouverture de haut niveau. Mais son impact va bien au-delà des frontières de la Chine. Cela pourrait se traduire par des règles plus claires et de nouvelles opportunités de marché pour les startups à Nairobi ou les hubs créatifs à Bogotá.

En fin de compte, cette démarche s'inscrit dans une vision plus large : construire une communauté avec un avenir partagé pour l'humanité. Il s'agit de s'assurer que le commerce apporte des avantages réels—emplois, innovation et croissance—pour tout le Sud global. Alors que l'OMC se prépare pour son prochain chapitre, tous les regards seront tournés vers la manière dont cet engagement redéfinira les règles du jeu.

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