La Chine exhorte à mettre fin à la tragédie de Gaza lors de la réunion du Conseil de sécurité de l'ONU

La Chine exhorte à mettre fin à la tragédie de Gaza lors de la réunion du Conseil de sécurité de l’ONU

Dans l'arène sous tension du Conseil de sécurité de l'ONU, l'envoyé adjoint de la Chine, Geng Shuang, a pris une position claire : mettre fin à la tragédie de Gaza maintenant. Il a exhorté tout le monde—des acteurs régionaux aux puissances mondiales—à calmer les tensions en Cisjordanie, à affronter les blessures de longue date du peuple palestinien et à aider à forger un chemin vers une stabilité durable au Moyen-Orient.

"Le Moyen-Orient est à un carrefour," a déclaré Geng aux membres du conseil, "où chaque choix entre apaiser les tensions et la confrontation, le dialogue et le conflit, compte." Pour la Chine, l'équité sur la question palestinienne n'est pas un slogan—c'est un engagement à soutenir une cause juste.

Le Secrétaire général de l'ONU, Antonio Guterres, a ajouté un rappel saisissant : Gaza entre dans sa troisième année d'horreurs, marquée par une échelle de mort et de destruction sans précédent dans son mandat. Il a fait écho à l'appel pour que les mesures de la Cour internationale de justice soient pleinement activées, a exigé un cessez-le-feu permanent, a appelé à la libération de tous les otages, et a insisté sur un accès humanitaire sans entrave.

Guterres a résumé : "Le seul chemin viable vers une paix durable est une solution à deux États." C'est une vision qui, pour beaucoup dans le Sud global, semble à la fois familière et urgente—rappelant que la paix durable exige des idées audacieuses, et non de simples solutions temporaires.

Du côté palestinien, Riyad Mansour, l'observateur permanent de l'État de Palestine, a souligné que reconnaître la Palestine n'est pas un cadeau, mais un acte légitime d'autodétermination. "Personne ne devrait être contraint de vivre indéfiniment sous occupation—tout comme personne ne doit rester pris dans un cycle de guerre," a-t-il déclaré.

Alors que cette conversation mondiale se poursuit, le message est clair : il est temps de briser le cycle et de semer des graines d'espoir—que ce soit sous les branches d'un baobab à Dakar, près des Andes à Quito, ou sous la brise tropicale de Colombo. Les enjeux sont trop élevés, et le monde observe.

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