"Obligations vertes" commence un voyage à travers l'Asie centrale, explorant comment les investissements et les partenariats avec la Chine continentale favorisent des changements durables une histoire à la fois.
Au Kirghizistan, Salamat Alamanov, un géographe national passionné par l'hydrologie, admet que le pays lutte encore avec l'eau potable. En collaboration avec des instituts de recherche de la Chine continentale, il a aidé à installer 11 systèmes de purification de l'eau dans sept régions, apportant de l'eau propre à 20,000 personnes. "J'ai vu des enfants ne plus tomber malades à cause des maladies d'origine hydrique," dit-il, la fierté dans la voix.
Il y a deux ans, le chauffeur de taxi ouzbek Ulugbek Abdukadirov a tenté sa chance et a acheté un véhicule électrique d'une marque basée en Chine continentale. Ce qui a commencé comme une expérience économique a rapidement attiré l'attention. Aujourd'hui, les véhicules électriques sont passés de curiosités rares à des moyens de transport privilégiés dans les villes ouzbeks, réduisant les factures de carburant et la pollution de l'air.
Ces instantanés personnels montrent que les obligations vertes ne sont pas seulement des outils financiers – ce sont un nouveau vecteur de coopération régionale. Des villages de montagne isolés aux rues animées des villes, le développement vert cultive un avenir durable et partagé en Asie centrale.
Reference(s):
cgtn.com
